Les ruelles de Fayaltème

La nuit est enfin tomber sur fayaltème ... Shan'dar est de nouveau son élément: la nuit. Même si pour lui cette période devrait etre la plus propice a la détente, il garde un oeil sur les passants qu'ils croisent, lui et son convois. Il connait trop bien la nuit pour savoir que beaucoup de choses peuvent se passer ... et pas forcement des bonnes choses !

Son baton toujours en main il voit se profiler au loin, grâce à son infravision, les portes de la ville.

*Encore un peu de patience ...*

Il garde son baton bien en main, assi sur une caisse d'outil en tout genre ...

[[HRP: La couleur de mes yeux change pas lorsque je suis transformé ^^]]

( 76 ) Tu passes les ruelles sans encombres et te retrouve rapidement dehors, sur les Grands Chemins. La nuit étant devenue presque noire, il semble nécessaire de ne pas faire trop de route de nuit.

[ RP aux Grands Chemins. ]

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Nous sortons de la caserne ainsi sans trop d'encombres. Un soulagement intérieur m'envahit tandis que nous la quittons. Je demande à ce que l'un des miliciens marche devant, l'autre à côté de moi. Je tiens toujours fermement Gork par la cape du dos, mais mon étreinte est légère, presque insignifiante. Nous faisons quelques mètres, puis d'autres encore. Nous marchons silencieusement.

La nuit est tombée, et ne peut être que notre alliée. Je tiens toujours mon épée en main. Nous marchons pendant près d'un quart d'heures dans les ruelles dégager qui mènent de la caserne jusqu'à la maison du roi. Elles sont presques à l'extérieur de la ville. Nous finissons par nous trouver très près d'un petit fossé, derrière lequel se tient les restes des murs de la ville, et au delà, des champs à perte de vue : les Grandes Plaines.

( C'est l'heure... )

Je lâche Gork et lui tapote le dos. En un instant, je me redresse et frappe violemment le milicien qui se tient à côté de moi au niveau de la gorge. Un jet de sang s'envole en l'air : le seul bruit suspect est celui du liquide qui tombe. Je retiens son corps tandis que Gork dégaine son arme et fond sur le milcien qui est devant lui. Il lui plante son arme dans le dos, lui brisant l'épaule. Mais le garde, visiblement endurant, retient sa douleur et se retourne, blessant Gork au niveau du ventre. Ce dernier tombe alors à terre, et donne un nouveau coup au garde, qui est projeté au sol. Le garde que je croyais avoir neutralisé me plante à son tour son arme dans la cuisse, presque au même endroit où se trouvait ma précédente plaie. Je m'écroule, sentant la douleur me paralyser.

" Gork ! Aides moi ! "

Gork fond de mon côté et saute sur le garde qui m'assaillait. Il saisit le bras du milicien qui tient l'épée, et semble lutter avec hargne contre lui. Il a juste le temps de me dire :

" Fuis ! Azuriel bon sang fuis ! "

Voyant déjà que l'autre garde s'était relevé, je roule à terre et me précipite dans le fossé. Puis, je rampe au sol, effectuant un trajet complètement aléatoire. J'entends des hurlements derrière moi, puis un coup de lame... et plus rien.

( Par tous les dieux, non, Gork... )

La seule envie qui me dévorait le ventre était de retourner le venger. Mais maintenant qu'il était mort pour qu'il vive, je ne pouvais l'honorer que d'une manière : en respectant sa dernière volonté. Je reprenais ma fuite à travers les champs, restant accroupi et me débarassant au fur et à mesure de mes vêtements de miliciens.

" C'était lui ! Le traître ! Il nous a eu ! Je vais le poursuivre, va chercher des renforts. "

Mon ouïe était encore suffisament perçante pour que je perçoive distinctement ces mots. Une course s'entamait entre un garde valide et motivé, et moi, qui était blessé et presque démoralisé par la mort de mon seul ami. J'avançai aussi vite que possible, bondissant avec ma jambe valide et me réceptionnant en m'aidant de mes bras. Vu de cette manière, on pourrait dire que je sautais comme une grenouille : mais je parcourus ainsi une bonne centaine de mètres, entendant que le garde derrière moi soufflait pour tenter de me retrouver. Je vis à quelques mètres encore un petit buisson derrière lequel je pourrais me cacher. Il était encore sur les talons, et je fonçais le plus vite possible.

J'arrivai enfin à destination, essouflé et particulièrement fatigué. Mes yeux comme ceux d'un aigle scrutèrent l'obscurité, dans laquelle je discernai distinctement la silhouette de l'Humain qui se rapprochait. J'entendais désormais son souffle particulièrement accéléré... et je percevais de la rage dans son souffle, comme s'il était décidé à se venger. Il se tenait d'une main la blessure que je lui avais faite. Manifestement, ma lame n'avait pas été suffisament profonde pour l'égorger. Il passa alors à quelques mètres de moi, et s'arrêta, scrutant tout autour de lui. Je stoppai ma respiration et ralentit mon rythme cardiaque, puis fermai mes yeux...

( Humain, tu n'as pas les sens d'un Elfe... )

Il finit par partir, revenant en arrière, tandis que des renforts semblaient être arrivés. Je disposais d'une légère avance qu'il me fallait combler : je devais gagner au plus vite les Grands Chemins, et pris sur ma gauche puis sur ma droite, toujours en rampant, dans une position maintenant particulièrement fatiguante. Je saisis la tunique qui me restait, la déchirai, et en fit un garrot autour de ma cuisse. Je pressais également de l'herbe sur ma plaie, sans réellement savoir si cela servirais à quelque chose d'autre qu'un placebo. Je me relevai, et me mis à courir, en direction des Grands Chemins. Je savais qu'une petite ville, Punishal, se dressait à quelques kilomètres...

>>>Arène de Fayaltème

Kod était tout fier de lui suite à son combat contre Maga, mais lorsque la faim le prend, son estomac remplace son cerveau et c'est lui qui lui donne des ordres...

Il se met à marcher vite en direction de la sainte taverne pour pouvoir peut-être y déguster de nombreuses bières !

*Tèh, j'espère qu'y'a rien à c't'heure ci, dans les rues... J'ai pas envie d'me battre à nouveau, j'ai déjà la cuisse écorchée et un trou dans l'dos...

Il marchait à vive allure vers la taverne.

>>>Taverne

J’aterissais quelques mètres plus bas , quelque peu assomé par le choc. Je levai la têtes pour m’aperçevoir que les miliciens avait déjà commencer la fouille de la chambre , et que j’avais bien fait de déguerpir. J’entendais le mobilier se renverser et les objets volait à travers la piece . Une lampe à huile s’écrasa à mes pied , à seulement quelques centimètre de ma position .

Si un garde regardait par la fenêtre , mon nouveau visage se retrouverait déjà suspectait d’être lier à cet affaire. Je jugeai alors plus prudent de glisser dans l’ombre , et de partir le plus loin possible de cette taverne .

La blessure au côtes que m’avait provoqué la hache de ce maudit nain , ne semblait pas vouloir cicatriser , aussi il faut dire que je ne m’était toujours pas reposé et que le tissu de la robe du magicien , avec laquelle je m’étais fabriquer un bandage ne devait pas être des plus propres et des plus absorbant .

Dans mon état , chercher un nouveau contrat n’étais pas la plus sage des décisions , je pensais plutôt qu’il fallait que je trouve une bonne raison de quitter ces rempares , de quitter cette ville de malheur où chaqu’un de mes pas sur ces pavé blanchâtre semblait épié.

J’arrivais à present dans la rue principale débordante de monde comme à son habitude , je pouvais marcher fierement à visage découvert pour la première fois depuis mon arrivée .
J’essayais de m’habituer à ce corps d’elfe plutôt musclé et moins agile que le miens. Sans oublié q’il falait que je trouve une façon de jouer ce rôle au mieux et que je devais parfaire ma façon d’échanger des paroles avec les gens , choses que je n’avais pas fait souvent .
Ma bourse bien remplie je decidais de prendre la direction de la forge afin de trouver une armure qui puisse éviter des blessures comme celle qui rendait ma démarche bancale depuis maintenant quelques heures .

>>>Taverne

Kod venait de refermer laporte grinçante de la taverne, et entra dans la rue centrale. Comme d'habitude, plein de monde se promenait, et quelques marchands faisaient leurs livraisons matinales...

Il remarqua que deux personnes se bagarraient. Il ria et observa le combat. Apparrement, c'était pour quelque chose qui gisait par terre...

Un cadavre ! Un homme énorme qui était en train de crever sur le sol. Les deux types devaient surement se disputer pour piquer ses biens...

*Sont pas finis, ces deux-là...*

Le premier donna soudainement un puissant uppercut dans la joue du second, qui tomba par terre. Il lui sauta dessus, et l'envoya valser d'un bon coup d'pied. Alors que l'autre se barré en étant mal en point, celui-ci était en train de fouiller ce cadavre...

Kod continua sa promenade dans les rues, observant toutes les personnes qu'il croisait. Il voyait parfois des nains, qu'il saluait et discutait, et repartait après. Il continua à marcher ainsi jusqu'à la forge de son bon ami Darius...

>>>Forge de Darius

Bon, cette taverne ne m'a pas convaincu , une ville reste une ville!! C'est à dire un endrois bizarre ou les gens sont mesquin et boivent de l'eau jaune en guise de bière... Une arme vite! Que je puisse partir d'ici...

En sortant de la taverne je tombe sur un groupe de mendiant, tous plus ou moins mutilés : un borgne me tend une sébille en réclamant une peu d'argent pour ses frères et soeurs. Je lui soulève son bandeau, découvrant un oeil parfaitement valide, et continue mon chemin tandis qu'il maugrée qu'on lui empêche d'exercer sa digne activité. Un peu plus loin cependant, un enfant laissé seul au bord de la ruelle attire mon attention. Je m'avnce ainsi vers lui en claudiquant tant bien que mal entre les quelques badauds , rares à cette heure-ci.

"Dit moi bonhomme que t'arrive t'il?"

Le garçon tourne vers moi un regard triste, presque vidé de tout espoir:

"R... Rien monsieur, merci monsieur..."

Conscient que je ne peux pas encore grand chose pour lui (HRP : Sauf si les grands et majestueux gamemasters accéptent que l'on considére un petit garçon comme un "familier" pour autant que cela convienne à un être humain^^), je lui laisse néanmoins quelques pièces, qu'il accepte sans grandes convictions, et poursuit ma route. Il s'agit maintenant de me trouver une arme!

Au bout d'une demi heure de marche je retrouve l'endroit que j'avait repérer, la fameuse forge de Darius , qui semble être l'endroit idéal pour trouver toute sorte de matériel , spécialement armes et autres attributs pour le moins aggressifs.

Les forges, voila des endroits que j'aime, c'est bien plus naturel que toutes ces pierres les unes sur les autres, et ces gens qui vivent séparés par des murs de glaise, de platre ou de caillou!

L’armure de cuir , que j’avais achetée génait quelque peu ma marche . Mais la sensation de deuxieme peau qu’elle me procurait , me permetais de me sentir à nouveau en sécurité et sûr de moi . Je pourrais grace à elle , protéger mon corp éfficacement et éviter des bléssures trop profondes..

Je réfléchissais à present , sur la raison qui me permetrais de quitter cette maudite ville et de remplir cette bourse completement vidér de pièces . Une idée me vint lorsque je passais devant un batiment portant l’insigne "  Hotel des Messagers " . Je pourrait sûrement y trouver un travail , moins dangereux que les contrats , et qui me permetrait de m’en aller loin de ces remparts.

*Pourquoi pas ... *

Prêt à jouer à nouveau le rôle du gentil elfe , j’entrais dans l’hotel des messager , sans savoir veritablement ce qu’était un messager et en quoi consistait sa mission.

Bon , il me faut un boulot, de quoi racheter des peaux et partir enfin d'ici, ou bien de me trouver un vrai arc, une armure un peu plus consistante et... Faut avouer que la chasse j'en ai vu un bon bout! Je pourrai peut être me trouver une nouvelle occupation...

Ces quelques reflexions m'ont mené sans que j'y fasse vraiment attention, face à une batisse au toit plat, devant lesquels les gens s'attardent peu. Le batiment semble en ruine et des cris ainsi que le fracas eds arrmes resonnent à l'intérieur. J'interpelle alors un passant:

"Ep, bonhomme, dit moi, c'est quoi ce taudis là?"

Le quidam , l'air un peu vexé que je l'appelle bonhomme me répond vaguement quelque chose comme :

"La maison des fous, la caserne quoi..."

Il part ensuite rapidement, manifestement pas très rassuré par mon air peu engageant. Je reconsidère alors le batiment qui semble plein d'opportunités, et entre...

Ouaip ben de toute façon il m'faut du boulot et tant qu'a faire, garde c'est pas si mal...

>>>Forge de Darius

L'air commençait à être lourd, la chaleur descendant. Le soleil était à son zénite, les nuages disparaissant pour laisser ce roi du ciel surveiller son royaume depuis les cieux. Une fine bruine se déversait sur les rues pavées de Fayaltème, et les villageois commençaient à s'habriter sous des capuchons de lin ou de soie.

Kod se promenait à l'air libre, sa hache sur son épaule, prenant son air traditionnel de vagabond nain. La pluie ne le gênait pas, et même le soleil qui pouvait désarmer des gens normaux par sa chaleur ne le faisait fléchir. Il continuait à marcher sous la bruine, seul dans la rue...

Un léger brouillard se formait sur le sol, de la brume blanche s'entassant dans les maisons. Les humains s'étaient regroupés sous les appentis, attendant que les strato-cumulus arrêtent leur fureur. Mais que fait le soleil ? Ils regardaient ce nain qui marchait seul dans la rue.

*J'espère n'rien rencontrer en ch'min, c'te pluie doit les empêcher de m'aggresser...*

>>>Place du Travail

Grmbl, les ctadins n'ont vraiment de respect pour rien, ce jeune freluquet n'a même pas du voir un seul loup de sa vie!! Pauvre garçon, rester dans ces rues toute sa vie... Enfin, la taverne...

D'un pas plus assuré, je me dirige à travers les ruelles de Fayaltème. Il semblerait que je commence à m'habituer à déanmbuler environné de dizaines de personnes, qui forment une mosaïques de couleurs et de situations. Je croise ainsi un nain bougonnant dans sa barbe, des elfes dont certain fuient mon regard, des marchands ambulants, toute sorte de colporteurs... La majeur partie de la population semble néanmoins être constituée de réfugiés et il n'est pas rare de croiser un groupe de personnes mendiant au coin d'une rue...

Dans mes pérégrinations je passe devant une étrange place ou plusieurs individus adorent ce qui semblent être des statues de divinités. Je ne m'y attarde pas, seule une divinité m'interesse et je ne pense pas qu'elle soit représentée ici. Mes pensées déanmbulent : ma jeunesse dans les steppes d'Isennöe, la vie de trappeur à la mort de Retharg, la franche camaraderie des autres trappeurs, bucherons et hommes du nord, et dernierement, le vol de tout mon équipement, toute ma fortune... Mon seul espoir de m'établir enfin, de ne plus avoir à affronter les hivers du Mont Solitaire, est parti en fumée ce soir là... Que me reste-t-il?

J'envisage soudainement une vie aventureuse au sein de cette cité, une vie qui ferait de moi sinon un homme riche, tout du moins un homme utile, pas un de ces marchands ventrus à qui je vendais mes peaux autrefois... Et après tout, pourquoi pas?

Par bonheur, mes pas m'ont conduit jusqu'a la taverne...

Alors qu'il sortait de la Taverne une éspèce d'énorme barique à bière humaine le bouscula en entrant. Vu la rudesse de son physique et la puanteur qu'il dégageait Abrahel pensa que la mère de ce monstre avait du fauter avec un ours lors d'une soirée d'hiver trop arrosée...

Ayant noté mentalement les informations de l'aubergiste Abrahel se dirigea d'un bon pas vers la forge. Au détour d'une ruelle sombre il entendit une échauffouré. Son premier instinct lui dicta de passer son chemin, mais aussitôt la raison de sa présence dans une ville comme celle-ci se rappella à lui.

D'un bond il pénétra dans la ruelle où il surprit un nain et un homme agresser un elfe sylvain. Malgré son plaisir instinctif à voir un elfe sylvain en patîr Abrahel se résolut à intervenir. Il était temps, le vieux nain sortait à l'instant une dague de son fourreau. Il se pencha sur l'elfe évanouit et brandit sa dague.
La main d'Abrahel saisit le poignet du nain et le retourna. L'homme se jeta sur lui mais Abrahel l'esquiva avant de le frapper violement dans le bas du dos le paralysant quelques instants.
Le nain ramassa sa dague de sa main valide et la rangea avant de s'enfuir en soutenant son ami.
Abrahel posa une main sur le cou de l'Elfe évanouit... il respirait encore et survivrait sans aide extérieure. Aussi Abrahel décida-t-il de le laisser terminé son petit somme au milieu des ordures où il l'avait trouvé.

Abrahel repris son chemin et parvint à ce qui semblait être la forge de la ville.

A la sortie de la taverne, les ruelles sont vides. Seuls quelques mendiants qui n'ont pas trouvés d'abris pour la nuit, gissent en plus ou moins bon état, sur le bord de la chaussée. C'est silencieusement que je traverse la ville endormie, alors que le soleil pointe ses premier rayons sur le faîte des plus hautes batisses. Je croise un garde qui patrouille, un de ces hommes zélées qui ne se serait jamais endormis en service, mais il est bien le seul. Un boulanger ouvre son échoppe, un tavernier sa fenêtre. J'aperçois un homme robuste sur un tonneau qui fume la pipe. Ce sont les seules personnes que je recontre dans toute la ville.

Rien de tel que l'aube pour admirer la nature, jusque dans cette abberation de pierre. L'aurore... Un moment privilégié pour partir en chasse!

Les remparts de Fayalytème, ou ce qu'il en reste, se dressent devant moi. Deux sentinelles somnolentes gardent l'entrée. Sans les réveiller, je passe le corps de garde et me retrouve donc, enfin, en pleine nature. Un panneau couvert de mousse semble insiquer "Punish....l" en pointant vers l'est.

Abrahel, bien décidé à mettre à profit son dernier achat, avait décidé que l'arène ne l'intérressait pas pour le moment. La place du travail allait bien pouvoir lui offrir un travail qui lui permettrait de virer de bord...

Quand il passa devant la ruelle où il s'était battu plus tôt il découvrit que l'elfe avait disparu.

Passant son chemin il progressa à pas mesurée jusqu'à la place du Travail

Abrahel, revigoré par cet élan spirituel, profita de la nuit tombée pour s'en aller rechercher la bouche des égouts dont lui avait parlé l'homme de la place du travail. Il remonta les ruelles sinueuses de la ville jusqu'à l'entrée du portique dont il lui avait parlé.

La demeure était majestueuse, d'une magnificence hors normes... L'Elfe de la nuit avait toujours été convaincu que ces humains sans intérêt ne s'enrichissaient que pour compenser un manque de talent explicite.

Il avisa une bouche d'égout suffisament large pour qu'il puisse y passer, une grande lampée d'alcool lui donna le courage de supporter l'odeur détestable de ces lieux et tira sur la grille en essayant de ne pas trop penser à la mousse pourrie qui l'a couvrait.

Il avait libéré un conduit où une échelle descendait sur plusieurs mètres vers les profondeurs obscures de Fayaltème. En commençant à descendre Abrahel remarqua la présence d'une torche neuve dans un espace proche du premier barreau...
" _ Surement un aventurier l'aura-t-il laissé là entre deux visites... tant mieux car elle fait mon affaire."

Arrivé au bas de l'échelle Abrahel enflamma sa torche à l'aide d'une pierre à feu. Au loin il entaendait les bruissements infâmes de créatures peu recommendables... La nuit risquait d'être longue.

Les égouts sont sales, humides et malodorants comme tu t'y attendais.

[ >> égouts]

Quand Abrahel se fut hisser haut sommet des barreau, il déposa sa torche éteinte là où il l'avait trouvée et reposa la grille pourrie à sa place. Il fallait maintenant trouver un moyen pour soyer ses blessures, il avait besoin de repos et de calme... Peut être la taverne, ou bien le temple d'Aelred... Mais les prêtres qui le receuillerait préféreraient l'achever plutôt que le guérir... Non il était condamné à s'en sortir seul. Il se dirigea en claudiquant vers la taverne.

L'elfe noir se dirigea rapidement vers la ruelle où habitait son employeur du moment et parveint rapidement à son portail. Celui-ci était ouvert aussi pénétra-il dans la demeure et toqua à la porte...

Abrahel >> L'homme que tu recquiert arrive rapidement à ta rencontre, portant une longue cape noire sur une tunique de velours vert-sombre.

" Bonsoir Monsieur. Je suis heureux de vous revoir, j'imagine votre travail accompli, sinon je ne vous reverrais pas en ces lieux ? "

Alors qu'il te parlait, deux gardes du corps bien équipés et au visage masqués apparaissent dans l'encadrement de la porte, tous deux bien plus grands et plus costauds que l'homme à qui tu parles.

Sans trop savoir pourquoi les deux molosses à côté de son patron ne lui inspiraient aucune confiance...


"Ma foi oui, deux goules avaient élues domiciles non loin des murs de votre cave mais elles ne devraient plus vous troubler désormais... repondit il"

L'elfe de la nuit était près à réagir à n'importe quel intervention d'un des deux gardes...