La Place de la Ville

Rhadamante : Beaucoup de personne ne font même pas attention à toi, néanmoins, certaines personne s'approchent, et écoute. ( dé de chance : 82 ) Finalement, trois personnes viennent te parler. Deux humains qui viennent apparement d'un chantier, et 1 elfe à l'air assez robuste.

L'elfe te dit : "Comment puis-je être sur que l'on sera payé ?"

Un des humains, parlant au noms des deux présent, te dit ensuite : "Quel genre de travaux faudra-t-il qu'on accomplisse ? Je ne vais pas gâcher l'opportunité d'un nouveau chantier pour ça..."

[Je lancerai un dés pour la réussite ou non de ta persuasion ]

La place de la ville était un endroit mouvementé , cerclé de maisonnées à colombages. Malgré l'espace parfois exigu , entre la foule de badauds vaquant à leurs activités et les grands étalages de marchandises diverses , le pavé poreux du lieu était battu par toutes les chausses de la ville.

Aelred flanaît près des étalages , observant l'endroit à la recherche de quelque crieur ou quelque annonce qui pourrait lui indiquer de quoi remplir sa bourse.
Passant près d'une échoppe débordant de fruits , il lui pris l'envie de chaparder une pomme... mais elle s'y refusa en croisant le regard du marchand : Un homme du Sud aussi corpulent que ventripotent.

- C'aurait été comme lorsque je n'étais qu'une jeune peronelle dans mon village Ashla ... mais les voyages et mes errances en forêt m'ont fait perdre la main. J'aurais vite fait de me retrouver aux geôles.

Esquissant un sourire mutin , elle se détourna et continua sa quête à l'emploi.

Un elfe gris apparemment t'avait aperçu, puisqu'il s'approche de toi, met une main sur ton épaule et de l'autre s'empare d'une pomme avec une grande facilité, sans se faire remarquer par le vendeur.

Puis il se retourne, et te montre que tu dois le suivre en te poussant légèrement dans la direction où il souhaite aller.
Une fois hors de vue du marchand, il te sourit et te tend la pomme :
"Tenez ma chere..."

Je fronce les sourcils et contemple un instant la pomme dérobée avant de tourner le regard sur l'individu , qui , de prime abord ,n'attire pas ma confiance immédiate.

- Je vois que vous avez l'étoffe d'un expert en petits larcins. dis-je d'un ton flegmatique en inclinant la tête pour le saluer au lieu de m'emparer du butin. A qui ai-je l'honneur ?

Il sourit de nouveau et répondit :
"Elariand Ténèlis. Je fais partie d'un petit groupe de voleurs en ville"
Il t'entraina un peu plus loin du centre de la place, la où il y avait moins de mondes.

"Et vous, quel est votre nom ?"

La Rôdeuse esquissa un sourire entendu.
La technique du larron était évidente , elle avait connu un temps ces gens qui préféraient l'ombre des rues et le secret à la chaleur des foules ... et parfois pour les tâches les plus malsaines.

Mais ce temps était révolu...
Elle planta un regard franc dans les yeux de l'Elfe et prit une longue inspiration avant de déclamer , détachant doucement ses mots comme si elle cherchait à se le dire à elle même

-Ecoutez ... Elariand. Ne vous méprenez pas sur moi. Je n'ai a mon compte que quelques larcins ... Ceux d'une filette Ashla que la faim torturait souvent et qui était trop fière pour se résoudre à faire la manche.
J'ai trouvé ma liberté ailleurs depuis de bien nombreuses années... Et trop peu de choses en ce monde me touchent pour que je prennes la peine d'entraîner à nouveau ma main à dérober.

J'ignore ce que vous avez a me dire , parlez , si vous le souhaitez ... mais sachez simplement cela.
En cette mesure , mon nom vous importera peu je suppose ?

Aelred jeta un furtif regard à la pomme .

- Vous devriez y gouter. Celles ci sont réputées pour être douces et sucrées. On apprends trop peu à savourer la réelle nature des choses quand on les dérobe pour le défi.

L'elfe gris sembla visiblement déçu. Il lança un vif regard a la pomme et la rangea dans sa poche.

"Bien...C'est bien dommage que vous vous soyez retiré de cette voie..."

Il soupira mais continua de marcher à côtés de toi, en réfléchissant.
Puis, un garde se dirigea vers vous. Un humain à la carrure imposante.
Il s'arreta devant Elariand. Ce dernier ne sembla pas inquiet.
Le garde lui dit alors :
"Qu'est ce que tu mijote ?! Tu ne compte pas l'enroler elle aussi, j'ai deja du mal a vous couvrir, si vous embauchez les premiers venu..."

Le voleur sourit et dit d'un ton ironique :
"N'ai crainte, je ne vais pas rendre plus difficile ton 'noble' travail..."

"Oui, et tout travail a une récompense. Donne moi mon argent, et n'oublie pas que le mois dernier j'ai du faire preuve de gentillesse en ne disant rien au capitaine alors qu'il manquait la moitié de la somme convenue..."

Elariand sortit alors une bourse de sa poche. Il la lui jeta dans les mains.
Le garde prit alors un autre ton, il parla plus fort et plsu clairement cette fois-ci.

"La forge ? prenez cette rue là-bas, et vous ne serez plus bien loin"
Il lança un dernier regard au voleur puis s'en alla, un sourire au lèvre.

Aelred resta pantoise devant un tel acte de corruption...et devant tant de légèreté dépensière. L'Elfe Gris devait être maître d'une jolie fortune , et les Dieux savent comment il l'aurait acquise , pour donner aussi nonchalement une bourse de cette envergure.

Le regard soudain légèrement inquisiteur , elle se tourna vers lui.

- Ne serait-ce que par curiosité ... commenca-t-elle en haussant un sourcil déconcerté. Votre "groupe" de voleurs ne doit pas être des moindres ... Si vous pouvez corrompre aussi facilement les gardes.

Quels sont vos agissements ? Vous dérobez les bourses dans les ruelles ? Pratiquez le guet-apens ?
Ou bien le vol en domicile ?

"Le Guet-Apens ? Nos actes ne sont pas aussi peu nobles. Non, nous préférons les gros vol, préparés longuement a l'avance. Mais, cela ne nous empeche pas de dérober les gens dans les ruelles, ou bien a domicile, tant que ceux-ci ne s'en aperçoivent pas... Cela fait longtemps que nous opérons dans cette ville... Dans autres villes aussi d'ailleurs, nous sommes plusieurs petit groupe dans chaque grande ville : Melkenor, Unfallas, Lorrën, Thëleri, même a Ismiril, je crois d'ailleurs comprendre que vous venez de là-bas ?"

Il s'assit alors sur un banc en t'invitant à le rejoindre.

"En ce moment, nous prévoyons un gros coup. Cela fait plusieurs semaines que nous somme sommes dessus. Mais je ne peux rien vous dire de plus."

Il semble assez préoccupé a regarder autour... Son regard se posant sur chacun des gardes présent.

Aelred hocha pensivement la tête puis baissa le regard sur le sombre personnage , sans pour autant s'asseoir.

- Bien , je crois qu'il ne m'est guère l'envie de vous en demander d'avantage de toute manière. Quant à ma région d'origine ... Eh bien , disons que je n'ai jamais vu le faste de la riche Ismiril... j'ai seulement connu la misère et le coeur franc des habitants des oasis.

Elle s'inclina pour saluer Elariand et s'apprêta a tourner les talons ... quand soudain lui revirent à l'esprit les paroles de l'Elfe.

- Attendez ... murmura-t-elle en se figeant ... Vous avez prétendu connaître les larrons de Thëleri. Sont-ils ... Elfes Gris comme vous ? Y conaissez vous des nomades de votre race qui erreraient près des Bois de Syrine ?

Elle fixa soudain l'Elfe avec tant d'intensité que celui ci cilla légèrement.
Tentant de garder son flegme en apparence , Aelred attendait la réponse , le coeur battant.

"Des elfe gris a Thëleri ? Y'en a pas beaucoup là-bas, mais j'en connais oui."
En voyant ton air, il continua :
"Peut-être cherchez vous quelqu'un en particulier ?"

Aelred blêmit puis fit quelques pas en arrière.

- Non je ... Ce sont eux qui ne me cherchent plus. souffla-t-elle.

La Roublarde rabattit sa capuche sur son visage pour cacher son trouble.

- Si jamais, a l'occasion d'un de vos voyages près de Thëleri , vous croisez une troupe de cinq Elfes Gris nomades en vagabondage sur la bordure des Bois de Syrine ... Dites leur ... Que je les rejoindrai bientôt ...Et qu'Aelred la Brune les aime toujours.

Sur ces mots , elle fit volte-face et s'enfuit à toutes jambes dans les ruelles serpentines.

La place était bondé et les gens ne faisaient absolument pas attention aux deux (comptez Jacynthe) étrangers ne connaissant pas la ville. Cherchant quelqu'un qui pourrait leur donner une piste, Byleth se mit à questionner les différents commerçants. Mais tous bien trop occupés pour s'intéresser à lui. Il chercha ainsi en vain pendant trente bonnes minutes puis ils s'assit sur un tonneau et s'adressa à Jacynthe :
"Tu vois ma belle, je crois qu'au vas avoir du mal à trouver du boulot ici, et je ne gagnerais jamais assez d'argent pour m'équiper en chantant. Et comme on part bientôt..."

Alors qu'il disait ces mots, il entendit une voix derrière lui :
"Tu veux gagner de l'argent vite et bien, ça tombe bien, on devrais pouvoir s'arranger. Héhéhé...."

"Tu veux gagner de l'argent vite et bien, ça tombe bien, on devrais pouvoir s'arranger. Héhéhé...."

L'individu place sa main derrière ton dos pour t'inviter à le suivre, dans un endroit plus éloigné de la foule.
Il s'arrête à l'extrémité de la place publique et se tourne vers toi.

C'est un vieil homme, les cheveux crasseux, le dos courbé...
Il te fait un sourire qui te laisse voir ses dents noires et usées...

"J'aurai un petit travail pour un homme qui sait se faire discret... Tu semble correspondre.."
Il commence alors à chercher quelque chose dans ses poches en attendant ta réponse.

"Pour sur que ça m'intéresse mais va falloir me dire en quoi ça consiste. Mais quand vous dites discret, qu'est ce que vous entendez par là? Vous allez rien me faire faire d'illégal j'espère, ou bien j'espère que vous payez bien."

Ce faisant, il serrait dans sa main son coutelas, afin de parer toute éventualité.

La ruelle dans laquelle ils s'étaient engagé était sombre et la bruit incessant de la foule couvrirait sans aucun doute tout cri et tout appelle à l'aide. Prêt à bondir pour disparaitre dans la foule en cas de besoin, il sentit l'excitation qu'il connaissait dans les forêts lors des chasses aux gros gibiers.

"Oui je paye bien ... Très bien... En fait, j'aurai besoin d'une âme jeune et vive pour aller récupérer un petit bijou...Moi je suis trop vieux "

Il trouve enfin ce qu'il cherchait dans une poche intérieur bien caché. Il te montre une bourse tellement remplie qu'elle à du mal à se fermer correctement...

"Alors, ça t'intérèsse petit ?"

Il sentait qu'il y avait une bonne affaire ici, mes tous ses sens semblait le prévenir que quelque chose ne tournait pas rond. L'air sure de lui, il s'accorda une petite précaution.

"Ca oui, mais quand je vois tout cet or, je me dis qu'y a quelque chose de louche là dessous, alors par principe de précaution, enfin vous comprendrez j'imagine, j'aimerais bien un petit quelque chose maintenant et comme qui dirait, le reste une fois la mission remplie. Qu'est ce que vous en dites, vous trouverez pas meilleur homme dans tout Fayaltème pour ce genre de mission, j'suis le gars qui vous faut alors laissez pas passez l'occasion mon brave. Racontez moi donc ce qu'il faut que j'ailler cherchern c'est comme si c'était fait...."

Le vieillard eut un geste de mépris et cracha au sol, énervé :
"Saleté ! Tu es un p'tit malin toi !"

Il émet une espèce de grognement et ouvre sa bourse. Il en prend une poignée, te fait signe d'ouvrir les mains et te verse les pièces à l'intérieur...

"Voila ! Le reste après ! Et ne t'avise pas de t'enfuir ! Bon... J'ai besoin que tu t'empare d'un joli petit joyau au propriété magique... Dont j'aurai besoin pour mettre un terme à certaines affaires... Il se trouve a l'extérieur de la ville, dans une petite clairière, mais il est gardé, et c'est la que j'ai besoin de toi !"

"De la magie tu dis, ça semble plus ardu que prévu, mais c'est ok boss, à ce prix là, je suis votre homme Par contre va falloir me raconter tout ce qui vous savez, et pas d'entourloupe, si vous voulez que ma mission réussisse, je vais avoir besoin d'un maximum d'informations : situation géographique, dangers, nature de l'objet, personnes présentes etc... J'dis pas ça pour vous embêter, c'est juste que si vous voulez récupérer vot'bidule."

Ce faisant, il rangea les pièces dans sa bourse, en mordant une pour vérifier que c'en était des vrais."

"Dites, ça crains pas trop pour ma vie j'espère, c'est que j'ai des haut-faits à accomplir moi..."

"Pour ce qui est du lieu, je vais t'y amener, je ne sais pas ce qui garde le joyau, mais rien de bien méchant à c'qu'on m'a dit !"

Il te regarde mordre dans la pièce puis dit avec colère :
"Mais pour qui tu m'prend ?! Mes pièces je les ai gagné en travaillant moi ! Doit bien y'en a voir 50 pièces de ce que je t'ai déja donné, mais ça en vaut la peine, il m'faut absolument ce bijou !... Bon maintenant, suis moi !"

Il se retourne alors et se dirige dans les ruelles...

Je débouche sur la fameuse place dont ma parlais le hobbit.Plusieurs charettes et chariots forment une sorte de forme ovale sur la place.La foule de gens qui est sur place est impressionant à voir.J'avance en direction du centre entre les gens en esquivant certains coups d'épaules.Quelques regards se posent sur moi , puis à mon tour quand je les regardent leurs yeux baissent sur le sol humidifié par , sans doute , la pluie de la veille.

(Ca va finir par m'énerver cette situation ....)

Arriver au centre je m'assois un moment sur le bord de la fontaine en cherchant du regard l'homme qui pourrait me donner des pièces d'or.
Tapis dans une charette j'aperçois l'homme.Il semble vendre des tissus précieux.Je m'avance lentement vers lui avec discrétion comme si je craignais qu'il me voit.

Une fois derrière lui je lui demande.

"On m'a dit que vosu donniez des pièces d'or en échange d'un service ?"

L'homme se retourne, surpris.
"Ah ! Oui en effet, vous êtes intéressé ?"

Il se retourne vers un jeune homme.
"Arlel ! Occupe toi de la vente !"

Il revient vers toi et continue :
"Donc, j'aurai besoin d'une étoffe assez rare pour un tissu... J'ai entendu qu'un commerçant de la ville en possèderait une...Alors, vous marchez ?"

L'enthousiasme de l'homme semble vouloir dire que cet étoffe est en effet très rare.Je le regarde de mes yeux sombres.Je l'étudie pour à la recherche d'un détail que je ne trouve pas.

"Comment s'appel ce tissu , à quoi ressemble t-il et combien me donnez vous si je vous l'amène ?"

Les informations obtenue viennent se gravé dans mon cerveau l'homme semble aimé la vie à le voir constament rire.

(50 pièces d'or pour un une étoffe qui semble être tant convoité , ça me paraît peu)

"J'ai bien saisi vos informations donné et je vous remercie de me facilité la tâche , par contre , faudrait réévalué les 50 pièces d'or si vous voyez ce que je veux dire !"