La Place de la Ville

`·.,¸¸,.·´¯ La place de la Ville ¯`·.,¸¸,.·´

La place de la ville se trouve au centre de celle-ci. Beaucoup de gens, notamment des marchands, passent leurs journées prêt de la fontaine qui surplombe cette place. Il y règne une atmosphère mouvementé, et vous trouverez également les petites annonces ici.

C'est le meilleur endroit où l'on peut trouver du travail !

Je parcourrai assez furtivement les quelques étalages qui restaient encore sur la place de la ville, assez habilement je volai quelques pommes bien rouges et mûres que je dissimulai dans mon manteau vert foncé. Puis quand je fus hors de vue du marchand, j'en sortis une et j'y croquai à pleine dent, c'était si bon, le goût sucré de la pomme m'envahit la bouche, c'était aussi doux que les premiers rayons d'un soleil de printemps sur les grandes plaines chatoyantes et vertes de Nelemdras, à dire vrai mon beau pays me manquait. Les hurlements des marchands commençaient à se calmer, le temps était venu pour les rendez-vous, la plupart des personnes se rencontrait ici, je continuais de manger nonchalament ma pomme, regardant de tous les côtés comme un enfant émerveillé devant la moindre chose. Comme il me manquait mon doux pays.

Pourtant un des marchands t'as vu. Il accourt vers toi, te prend le bras avec force, t'écrasant presque le biceps. Il te lance un regard de foudre, levant l'autre bras, très musclé d'ailleurs, en l'air, en guise de colère.

" Et tu te prends pour qui, monsieur, à voler des pommes comme si c'était gratuit ? Si tu payes pas, comment je vais manger moi ? Si t'as pas de travail, t'as qu'à aller là bas, ils en offrent tout le temps ! "

Il te montre du doigt un homme avec une belle tunique et de belles étoffes en train de ranger quelques ferailleries. L'homme, mis à part une étoile brodée sur son habit, semble être pourtant des plus communs.

Je terminai ma pomme lorsqu'un marchand un peu trop curieux vint commencer à me rosser comme un garnement qui venait de faire une bêtise, après en avoir fini avec la violence physique il me lança un terrible regard, mais je restai stoïque. Je lui rendis le même regard froid, puis je détournai la tête pour voir l'homme qu'il me désignait, richement vêtu et assez distingué, et je m'élançai à sa rencontre sans un mot pour le marchand. Quand je fus arrivé à la hauteur de l'autre homme j'inclinai la tête pour le saluer.

-Salut à toi l'homme. J'ai entendu dire par ce grossier personnage que tu offrais du travail. Il se trouve que je cherche à alourdir ma bourse.

Il relève la tête, dévoilant un rictus hideux et repoussant. Puis il te jette dans les bras un morceau de chair puant.

" Voilà tout ce qu'on a retrouvé d'un gros rat, l'ami. Si tu veux travailler, et alourdir ta bourse comme tu dis, il y a des sortes de rats géants, tout du moins c'est l'apparence qu'on leur prête, qui rôdent dans les bas fonds de la ville. Je t'offrirai 100 pièces si tu enquêtes, et si tu en tue au moins cinq. Ils sont pas nombreux, mais terriblement mauvais. "

Puis il retourne à son travail sans t'accorder un seul regard. Il continue de ranger ses affaires avant d'être dérangés par d'autres gens en quête de travail. Tu entends qu'il leur confie une tache bien plus sommaire, nettoyer les granges en l'occurence.

(( rends toi dans les ruelles, enquêtes par toi même tout d'abord. Je t'y répondrai. aposes au début de chaque message la mention " Travail : nettoyage des ruelles " ))

Sans que je m'y attende, l'homme richement vêtu, mais qui avait un sourire plus repoussant que mon apparence de vagabond pouilleux, me jeta le cadavre sanguinolant et putréfié d'un rat géant, très laid d'ailleurs. Puis mon interlocuteur me donna un prix pour débarasser les rues de Fayaltème de ces ignobles créatures, je pris celle que j'avais par la queue et l'examinait attentivement, de profondes blessures avait causé sa mort, et sa gueule pleine de crocs pointus et sales était restée crispée dans une horrible grimace d'agonie. Je jetai la dépouille du rat géant au loin, et je m'essuyai les mains sur mon manteau, pourtant sa puanteur ne me quitta pas et mon visage se renfrogna. Certes partir à la recherche d'une bande de vermines géantes n'était pas la chose la plus héroïque que j'imaginai mais je n'avais pas trop le choix, malgré ma vie d'errance l'argent tenait toujours une grande place dans ma survie, alors je me devais d'accepter ce travail pour remplir ma bourse déjà vide.

Une fois sur place, Mordwain ne peu s'empeché de sourire face a la toute petite place sur laquelle il tombe: les villes elfiques possèdent des place principales au moins 3 fois plus grandes. Malgrès l'heure tardive, la place est toujours peuplé et peut être même plus que les ruelles ... étrangement peuplé ...

*Bizarre ...*

L'atmosphère feutrée met quelque peut mal a l'aise et le barbare sert un peu plus sa hache contrer lui au cas ou un assassin n'ai pas eu assez de victime pour sa soirée ... Tout en se dirigeant vers la fontaine centrale, Mordwain sonde du regard les gens tout de noir vétu parlant en messes basses.

*~*

L'eau de la fontaine continu sont cycle même la nuit permettant ainsi au barbare de trempé la main dedans pour se la passer sur le visage. Levant les yeux au ciel, il regarde les étoiles se remémorant ce genre de moment passés avec sa mère a regarder les étoiles, loin de son père ... Tout d'abord les goutes d'eau sur son visage lui fesaient du bien mais bien vite elles lui rappel le sang de sa mère dont il fut arrosé lorsque son père l'égorgea ...

*~*

Dans un grondement de tonnerre de barbare se lève d'un bond crachant rageusement dans l'eau mais lorsqu'il s'apperçoit que tous le monde le regarde sa rage redescend bien vite.

*Doucement ...*

L'homme repose sa hache sur la pierre de la fontaine puis son capuchon avant de passer ses mains dans ses cheveux en souflant un bon coup.

Mordwain => A quelques mètres de toi , un homme qui avait dépassé l'âge de cinquantaine ,orné d'une barbe hirsute , d' un bandana dans les cheveux et d'énormes anneaux dans les oreilles , contemplait chaqu' un de tes geste depuis un bon moment . Il semblé être l'un de ces hommes qui avaient passé toute leur vie à naviguer à travers les 4 coins des eaux de Taa'l.

Après s'être assit de nouveau, cherchant a se faire oublier de tous, son instinct lui fait hérisser les poils ... Il se sent observer et lorsqu'il tourne la tête un peu sur la gauche il s'aperçoit qu'il n'avait pas remarqué un homme plutot haut en couleur ressemblant un peu a la description qu'on lui avait des pirates. Normalement ces hommes sont réputés pour etre fourbe et rustre mais celui ci semble plus posé et réflechi.

*~*

Cet homme semble le regarder avec incistance piquant la curiosité du jeune guerrier. Il remet donc son capuchon et recupère sa hache avant de se diriger vers le vieillard sans prendre d'air menaceant mais plutot bienveillant.

"Alors ... que fait un vieillard dehors encore a cet heure la ... Pas encore couché ?" dit il sur un ton moqueur, une pointe de malice dans les yeux.

Il vient au vieillard un sourir un levre .

" Vieillard ? Je respire de jeunesse .. il faut dire que la mer conserve ! "

Le vieillard laisse échaper un éclat de rire qui t'offre la vue sa dentition : 3 dents noiratres parsemé sur des gencives imbibées d'alcool .

Il finit par reprendre son air curieux et intéressé .

" Dit moi .... Tu à l''air bien battit et en excellente forme physique , je suis sur que tu doit pouvoir soulevé des charges que certain ne pourrait même pas traîné ! Hmmm .. "

Le silence s'installe alors , comme si le marin avais peur que tu le trouve envahissant et indiscret .

Mordwain pose sa hache, la laisse tomber pour être précis comme pour montrer le poid de l'arme. Un faible sourire se dessine sur son visage en imaginant se que le vieillard avait derrière la tête.

"C'est sur que je n'ai pas le physique d'un elfe et il est vrai que ma force ne m'a jamais fait défaut"

Il rajoute même un bref clin d'oeil comme pour lui dire de continuer sur sa lancé puisque le travail que semble vouloir lui proposer le vielllard requiert une grande force ... chose dont il ne manque pas !

"Vous êtes sur que cet endroit est sur pour parler ?"

Mordwain fait basculer sa hache sur son épaule l'air décider a en écouter plus

" Hmm , je suis le capitaine du Fikbur , un gallon dont le nom fait trembler les flottes de Furion.
Nous devons mettre les voiles dans 3 jours et j'ai perdu lors de notre dernière bataille , deux de mes fidèles matelots . Mon équipage réduit de moitié , nous pourrons jamais charger le navire à temps .. Alors je me suis dit que ta force pourrait nous rendre grandement service , et nous permettre de respecter nos délais "

Le capitaine attendait une réponse affirmative de ta part , tout en posant sa main sur sa bourse qui semblait bien remplie .

Le travail que lui propose le vieux loup de mer ne l'étonne guère mais c'est un boulot comme un autre ! Le guerrier fait mine de reflechir, plissant les yeux puis finit par sourire:

"Entendu, je suis votre homme !"

Il pose lourdement la main sur l'épaule du vieillard pour sceller le contrat mais la laisse poser fermemant.

"Un peu plus de precisions ? Une heure ? Quel quai ? Le type de chargement ? Une rémunération ... ?"

Mordwain lève un sourcil interogateur bien déterminé à ne pas se faire entubé par un vieillard des mers. L'homme se permet de parler fort puisque vu l'heure très tardive plus grand monde n'est présent sur la place ... il ne reste même plus qu'eux deux !

Tout en observant la main poser sur son épaule qui à pour conséquence de faire plier ses vieux genoux . Le capitaine vous inonde à nouveau de son haleine fétide.

" Vous reconnaîtrez le navire par sa grandeur , son large pavillon au couleur de l'Alliance et l' animation qu'il règnent à bord. Comme je vous l'ai dit nous lèverons l' ancre dans moins de 3 jours , plus tôt vous vous mettrai au travail , meilleur ce sera ..
Pour ce qui est de votre rémunération , ne vous inquiétez pas , je n'ai qu'une parole et une bourse bien remplie . "

Le vieux marin semble être parfaitement honnêtes , il se gratte l'arrière du crâne en guise de réflection.

Mordwain regrette son geste et manque de tourner de l'oeil en sentant de plus près l'haleine fétide de son "patron" qui lui repond ce qu'il voulait entendre !

"Très bien ... dans trois jours le travail sera finit !"

Le guerrier laisse enfin partir le vieux et se rend compte que la fatigue commence a le gagner. C'est alors qu'il se met a rever d'un bon lit bien douillet entre deux jeunes simpatiques demoiselles. Le probleme ... c'est de savoir ou est cette auberge tant recherchée !

*Mieu vaut partir maintenant ...*

L'homme robuste qu'il est se retourne lentement et sors de la place principale assez rapidement.

Je deambulais sur ce qui semblait être la place principale de Fayalteme . Les commerçants se comptaient par dizaines , aucun d'eux pourtant n'était nain .
Mais peu importe , je devais mettre ma fierté naine de coté si je voulais remplir cette maudite bourse. Je fis une halte afin de m'abreuver à la fontaine , même si ca n'était pas dans mes habitudes de boire de l'eau .
Puis je repartis à la recherche d'un employeur.

" Hey le nain ! Ouais, vous ! Vous m'avez l'air costaud, on peut se parler un peu ? "

L'homme en question était un freluquet relativement grand et imberbe. Il avait deux petits yeux en graine qu'il utilisait pour t'examiner du regard. Il était vêtu d'une longue robe pourpre et marchait vers toi de façon joviale.

Je n'eu pas le temps de faire le tour de la place qu'un homme sans pilosité et habillé d'une robe m'interpela.

" Se parler un peu ? A quel sujet ? " dis-je en me caressant la barbe , sans pour autant avoir confiance en cette drôle de personne

Il a l'air tout de suite un peu gêné, baisse la tête, et fait quelque pas tout en parlant avec toi, d'une voix grave et sévère.

" Je travaille pour Mon Seigneur Léonis, et il est très exigeant, notamment quand à la sécurité de la ville. Et récemment, une petite avant-garde des armées de Furion s'est avancé dans les Grandes Plaines. Il nous ait impossible de les repérer, ce sont des sortes d'éclaireurs. Mais ils attaquent systématiquement les caravanes, et en tant que Haut Conseiller à la Sécurité, je me dois d'assurer celle ci ! C'est pourquoi nous devons multiplier les patrouilles dans ce secteur. Je cherche depuis ce matin des volontaires, il ne me manquait qu'un solide guerrier ! "

Sans reflechir , le nain exité à l'idée de faire la demonstration de ses talents de guerriers ,aaccepte la proposition .

" Alors saches que tu a devant toi le solide guerrier que tu cherche..

mais ... peut tu m'en dire plus au sujet de ce Leoni ?"

" Léonis ? Vous ne savez pas qui c'est ? Le légat de l'Alliance, celle-ci l'a chargé d'administrer et de reigner sur cette sainte-ville. Il n'est pas âme qui ne doive quelque chose à ce grand seigneur !

Si vous acceptez, vous pouvez partir maintenant. J'ai envoyé les autres à l'auberge, prenez ce parchemin, et allez les quérir, grâce à ceci vous montrerez que vous faites parti du groupe. Leur chef, Salvir, est un homme d'imposante carrure, vous le reconnaitrez sans doute. Vous recevrez salaire ici même... Vous avez encore des questions ? "

Il semble de nouveau souriant, te tendant le fameux parchemin, ordre de mission.

" Ha .. Bah maintenant je le sais ! "

Je pris le parchemin puis me mit en route hativement tout en saluant cet étrange humain

"N'ai crainte , je n'oublierai pas de revenir pour empocher mon dû"

La place était déjà follement agitée, encore bien plus que les rues principales de Fayaltème, malgré la fraîche heure restant matinale. Les marchands déballaient hâtivement leur stand, tandis que les clients, déjà fort nombreux, se bousculaient, se précipitant à l’entende des braillements de certains commerçants vantant les mérites de leurs produits. Kaïnda, arrivant le plus calmement du monde, contrasta avec toute cette agitation, le visage calme, l’air impartial, son corps bougeant lentement, tandis qu’elle observait la grande place, se répugnant intérieurement à s’y fondre, n’appréciant guère les foules. Elle chercha furtivement du regard un Paliash, reconnaissable aux fourrures de loup qu’ils portaient sur les épaules, comme l’avait ainsi précisé l’homme dans les ruelles. Dans cette masse d’habitants, elle n’en vit aucun, tant l’empressement des passants troublaient sa vision. Il est vrai qu’elle se trouvait assez à l’écart, et ne pouvait donc voir qu’une minime partie des habitants ; la solution était telle que l’archère devrait s’enfoncer dans les gouffres de cette affluence hostile et empressée.

Bien qu’ayant une certaine allure, marchant la tête haute, Kaïnda n’était nullement une grande femme, sans pour autant faire partie des plus petites dans la race des Hommes, mais cette taille légèrement inférieure, et sa minceur qui caractérisait la plupart des archers, lui valait donc plus de difficultés à facilement se déplacer à travers des passants remuants. Elle évitait avec une certaine agilité les bousculades potentielles, mais étouffait ; s’arrêter n’aurait servit à rien. De là où elle était, elle ne voyait que des visages rougis, des corps suants, sans avoir vraiment le temps de les apercevoir. Elle poursuivit donc son chemin, cherchant à atteindre la fontaine, endroit idéal pour examiner entièrement la place.

Ce fut avec satisfaction, poussant même un imperceptible soupir de contentement, que l’archère atteignit le monument, ruisselant d’eau fraîche dans ce désert d’énergumènes brûlants. La jeune femme, époussetant son armure de cuir, put ensuite se donner tout particulièrement à l’observation ; seuls quelques individus et enfants se trouvaient assis ou debout près de la fontaine, mais Kaïnda n’en vu aucun ressemblant à un Paliash. Marchant avec une assurance évidente, la jeune femme se posa non loin de la source, les bras croisés, mains sur les hanches, tandis que ses yeux noirs parcouraient à présent cette multitude d’individu. Elle ne vit tout d’abord aucun Paliash, mais peut-être que celui-ci viendrait de lui-même à elle…

Kaïnda >> Un homme imposant à la mine grave, barbu, et sale, passe devant toi. Il porte les fourures de loup que t'a décrit ton ancien interlocuteur. Il porte une épée longue à la ceinture et un bouclier dans le dos. Il va discuter avec un Elfe d'allure plutôt sombre, avant de s'arrêter devant une échoppe...

Le Paliash recherché ne se fit attendre ; sans venir réellement à elle, il lui simplifia grandement la tâche en passant devant l’archère. Cette dernière, les yeux perdus dans la foule, ne vit guère son visage mais distingua aussitôt les fourrures de loups que l’individu portait, écartant tous les doutes. Il conversa avec un elfe non loin de là, avant de s’éloigner, s’arrêtant sur une des innombrables échoppes de la grande place. Kaïnda ne devait s’éterniser ; il était seul et très facilement abordable. Il n’y avait pas de temps à perdre. La jeune femme se redressa, caressant subrepticement sa bourse vide ; elle s’approcha d’un pas assuré vers le Paliash, craquant ses doigts à travers ses gants de cuir.

L’homme en question ne lui avait apparemment porté aucune attention, et il sembla d’ailleurs ne s’apercevoir de sa présence qu’une fois que la voix cristalline de l’archère se fit entendre à ses oreilles. Le contact corporel n’était conseillé entre le client et l’employé, aussi, bien que l’occasion lui était aisément donnée, Kaïnda ne posa sa main gantée sur l’épaule du Paliash.

« Excusez-moi. »

Sa voix était claire, nette, basse sans pour autant être un murmure. Elle se fondait dans le brouhaha de la foule, mais attirait l’attention pour peu que l’on se trouve suffisamment proche de sa source ; en l’occurrence, le Paliash était le seul à l’avoir pu distinctement entendre.

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